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Tchad : Interdiction des moto-taxis : quelles solutions aux problèmes collatéraux
L’interdiction d’activité de milliers de conducteurs de moto-taxi sur toute l’étendue du territoire nationale, soulève des nombreux problèmes au sein de la société. Certes, un pays ne peut prétendre résoudre à 100% le problème de chômage. Aussi, beaucoup de personnes se sont tournées vers les débouchés offerts par le travail de moto-taxi pour se prendre en charge et leur famille. Grace à ce boulot, des familles entières peuvent du moins, avoir leur repas quotidien, acheter le pétrole lampant, le savon, payer le loyer, envoyer leur enfant à l’école et acheter les médicaments pour soigner leur membre. Combien de personnes sont sanctionnées par cette interdiction? Personne ne pourra faire une étude exhaustive, connaissant la composition de nos familles composées généralement de plusieurs personnes dépendant souvent des revenus d’une seule personne.
Les moto-taxi permettent à des milliers de personnes de vaguer quotidiennement à leur activité. Des marchandes qui doivent aller avec leur produit aux marchés. Des fonctionnaires et travailleurs vivant dans les banlieues qui trouvent ainsi des facilités de se rendre au travail sans retard et tracasseries. Des élèves qui ont la joie de ne plus parcourir des dizaines de kilomètres par jour pour arriver à l’école exténué et dégoulinant de sueur. Même si les activités des moto-taxi causent des inconvénients aux usagers et présentent de risques sérieux pour la sécurité des citoyens et des institutions, un meilleur encadrement et une enquête de moralité pourraient dégager quelques brebis galeuses du lot, tout en sachant que cette procédure n’est pas sûre en ce qui concerne la crédibilité, l’honnêteté et la transparence des conducteurs de moto-taxis.
En mettant ces milliers de moto-taxis sur le carreau, les autorités avaient cru résoudre un problème tout en créant des nombreux autres. Aujourd’hui, des nombreuses familles qui avaient retrouvé le sourire avec le travail de conducteur de moto-taxi d’un des leurs, commencent à déchanter. La faim commence à prendre possession de leur corps. Des lendemains sombres pour le paiement des loyers se profils à l’horizon. La rentrée scolaire prochaine sera hypothétique pour des nombreux enfants. Des fonctionnaires et travailleurs ployant sous le poids des charges, ne pouvant pas s’offrir un moyen de déplacement, ont commencé a arpenté les routes, usant chaque jour les semelles de leur souliers et arrivant au travail à bout de souffle.
le gouvernement doit mettre des bus de transport en commun a la disposition des populations, pour soulager la galère des usagers de la route , des banlieusards et de tous ceux qui ne peuvent s’offrir quotidiennement les service des taxis traditionnels. En interdisant d’activité les moto-taxis, on met un véritable frein à un important flux d’échanges, car l’économie d’un Tchad, ne repose pas seulement sur les industries, l’import-export ou les activités de gros commerçants. Il vous retenir que des pays comme le Benin, ont su tirer leur épingle de jeu depuis plusieurs décennies en encadrant et réglementant rigoureusement les activités de moto-taxis. Notre pays doit rendre obligatoire à nos conducteurs de moto-taxis, l’apprentissage des codes de la route et l’obtention de permis de conduire (90% achètent des permis de conduire) et astreindre tous les conducteurs de moto-taxis de passer des examens médicaux pour détecter des problèmes incompatibles avec le travail de conducteurs de moto-taxi.
On ne peut accepter qu’un sourd muet, un borgne ou qu’un myope conduise une moto-taxi. Il n’est pas rare de voir sur nos routes, des conducteurs de moto-taxis ne jouissant pas de toute leur capacité physique. Aujourd’hui, beaucoup de petits délinquants se sont mis dans la peau de moto-taxis pour détrousser les usagers et représenter des risques pour le pays. Mais un des grands risques pour notre pays, c’est l’inactivité de nombreux jeunes qui peuvent facilement se faire séduire par les chants de sirènes des terroristes et autres groupes armés qui guettent la moindre occasion pour mettre a feu et a sang, notre pays. L’État doit créer des emplois et aussi chercher des avenues pour mieux encadrer le travail des moto-taxis. En attendant la fin des tergiversations des uns et des autres, des nombreux fonctionnaires et travailleurs galèrent quotidiennement pour rejoindre leur travail, des nombreuses familles ne peuvent plus joindre les deux bouts faut de manque de travail pour leur père, fils ou frère, conducteur de moto-taxi de son état…
Les autorités doivent savoir que dans beaucoup de familles dont un ou plusieurs membres sont conducteurs de moto-taxi, les enfants n’ont plus la joie de voir leur père, le frère ou leur oncle revenir à la maison avec un Léda chargé de quoi préparer le repas du jour. Beaucoup d’enfants ne comprennent pas pourquoi, ils ne trouvent plus le beignet matinal et le verre de thé. Beaucoup d’enfants se posent les questions de savoir pourquoi leur papa, leur grand frère ou leur oncle, conducteur de moto-taxi ne sort plus le matin pour rentrer tard la nuit. Ils se demandent les raisons qui empêchent leur maman à allumer le foyer pour leur préparer à manger. Plusieurs enfants se demandent pourquoi leur papa rentre du travail tout fatigué et la chemise humide de sueur lui colle au corps qui dégage une odeur désagréable. Pourquoi leur papa n’a plus le sourire et la bonne humeur malgré la dureté de son travail de moto-taxi qui lui permettait de nourrir dignement sa famille et de fuir ainsi l’oisiveté et le désœuvrement…Vivement, que les plus hautes autorités du pays prennent ce problème d’interdiction de moto-taxi avec une grande précaution en considérant les conséquences inhérentes à cette interdiction. Le gouvernement ne doit pas laisser des milliers de personnes sans travail, sans débouchés et sans moyen de subsistance, car on ne doit pas croire résoudre un problème tout en créant des multitudes d’autres, englobant la vie de nombreuses familles, des milliers d’enfants et freinant les activités des nombreux marchands et autres personnes se battant dignement pour joindre les deux bouts, en jouissant des facilitations des moto-taxi leur assurant une mobilité à moindre coût dans leur activité quotidienne…
Les moto-taxi permettent à des milliers de personnes de vaguer quotidiennement à leur activité. Des marchandes qui doivent aller avec leur produit aux marchés. Des fonctionnaires et travailleurs vivant dans les banlieues qui trouvent ainsi des facilités de se rendre au travail sans retard et tracasseries. Des élèves qui ont la joie de ne plus parcourir des dizaines de kilomètres par jour pour arriver à l’école exténué et dégoulinant de sueur. Même si les activités des moto-taxi causent des inconvénients aux usagers et présentent de risques sérieux pour la sécurité des citoyens et des institutions, un meilleur encadrement et une enquête de moralité pourraient dégager quelques brebis galeuses du lot, tout en sachant que cette procédure n’est pas sûre en ce qui concerne la crédibilité, l’honnêteté et la transparence des conducteurs de moto-taxis.
En mettant ces milliers de moto-taxis sur le carreau, les autorités avaient cru résoudre un problème tout en créant des nombreux autres. Aujourd’hui, des nombreuses familles qui avaient retrouvé le sourire avec le travail de conducteur de moto-taxi d’un des leurs, commencent à déchanter. La faim commence à prendre possession de leur corps. Des lendemains sombres pour le paiement des loyers se profils à l’horizon. La rentrée scolaire prochaine sera hypothétique pour des nombreux enfants. Des fonctionnaires et travailleurs ployant sous le poids des charges, ne pouvant pas s’offrir un moyen de déplacement, ont commencé a arpenté les routes, usant chaque jour les semelles de leur souliers et arrivant au travail à bout de souffle.
le gouvernement doit mettre des bus de transport en commun a la disposition des populations, pour soulager la galère des usagers de la route , des banlieusards et de tous ceux qui ne peuvent s’offrir quotidiennement les service des taxis traditionnels. En interdisant d’activité les moto-taxis, on met un véritable frein à un important flux d’échanges, car l’économie d’un Tchad, ne repose pas seulement sur les industries, l’import-export ou les activités de gros commerçants. Il vous retenir que des pays comme le Benin, ont su tirer leur épingle de jeu depuis plusieurs décennies en encadrant et réglementant rigoureusement les activités de moto-taxis. Notre pays doit rendre obligatoire à nos conducteurs de moto-taxis, l’apprentissage des codes de la route et l’obtention de permis de conduire (90% achètent des permis de conduire) et astreindre tous les conducteurs de moto-taxis de passer des examens médicaux pour détecter des problèmes incompatibles avec le travail de conducteurs de moto-taxi.
On ne peut accepter qu’un sourd muet, un borgne ou qu’un myope conduise une moto-taxi. Il n’est pas rare de voir sur nos routes, des conducteurs de moto-taxis ne jouissant pas de toute leur capacité physique. Aujourd’hui, beaucoup de petits délinquants se sont mis dans la peau de moto-taxis pour détrousser les usagers et représenter des risques pour le pays. Mais un des grands risques pour notre pays, c’est l’inactivité de nombreux jeunes qui peuvent facilement se faire séduire par les chants de sirènes des terroristes et autres groupes armés qui guettent la moindre occasion pour mettre a feu et a sang, notre pays. L’État doit créer des emplois et aussi chercher des avenues pour mieux encadrer le travail des moto-taxis. En attendant la fin des tergiversations des uns et des autres, des nombreux fonctionnaires et travailleurs galèrent quotidiennement pour rejoindre leur travail, des nombreuses familles ne peuvent plus joindre les deux bouts faut de manque de travail pour leur père, fils ou frère, conducteur de moto-taxi de son état…
Les autorités doivent savoir que dans beaucoup de familles dont un ou plusieurs membres sont conducteurs de moto-taxi, les enfants n’ont plus la joie de voir leur père, le frère ou leur oncle revenir à la maison avec un Léda chargé de quoi préparer le repas du jour. Beaucoup d’enfants ne comprennent pas pourquoi, ils ne trouvent plus le beignet matinal et le verre de thé. Beaucoup d’enfants se posent les questions de savoir pourquoi leur papa, leur grand frère ou leur oncle, conducteur de moto-taxi ne sort plus le matin pour rentrer tard la nuit. Ils se demandent les raisons qui empêchent leur maman à allumer le foyer pour leur préparer à manger. Plusieurs enfants se demandent pourquoi leur papa rentre du travail tout fatigué et la chemise humide de sueur lui colle au corps qui dégage une odeur désagréable. Pourquoi leur papa n’a plus le sourire et la bonne humeur malgré la dureté de son travail de moto-taxi qui lui permettait de nourrir dignement sa famille et de fuir ainsi l’oisiveté et le désœuvrement…Vivement, que les plus hautes autorités du pays prennent ce problème d’interdiction de moto-taxi avec une grande précaution en considérant les conséquences inhérentes à cette interdiction. Le gouvernement ne doit pas laisser des milliers de personnes sans travail, sans débouchés et sans moyen de subsistance, car on ne doit pas croire résoudre un problème tout en créant des multitudes d’autres, englobant la vie de nombreuses familles, des milliers d’enfants et freinant les activités des nombreux marchands et autres personnes se battant dignement pour joindre les deux bouts, en jouissant des facilitations des moto-taxi leur assurant une mobilité à moindre coût dans leur activité quotidienne…
